Daniel Waks et les parisiennes
« Une mise délicieuse, des gants à ganter des mains de poupée, un corsage coupé par un artiste, la toilette et les mille riens qui la font valoir, les jolies attitudes, le piquant du maintien, la fantaisie du geste, le caprice du corps et du mouvement, le frou-frou, ce bruit de soie de l’élégance, elles avaient tout ce dont la Parisienne fait son charme et, sans être belles, elles trouvaient le moyen d’être presque jolies avec un sourire, un regard, des détails, des apparences, des éclairs, de l’animation, un certain petit tapage de physionomie ».